Vendre : un plaisir avant tout…

Je suis Mehdi Lariani, fondateur de L’art de Convaincre.

Dans ma vie, vendre a toujours rimé avec plaisir. Quand on négocie de bon cœur, la relation commerciale devient fluide et naturelle. La vente se conclut sans peine. Voici comment j’ai découvert le monde des affaires…

La vente : cette amie d’enfance qui a toujours apporté du plaisir dans ma vie

Aussi loin que je m’en souvienne, la vente a toujours été là pour m’aider dans la vie. Tout petit, j’avais déjà très vite perçu qu’elle était le meilleur moyen de pouvoir m’offrir mes biscuits préférés et de régaler mes copains aussi. Je n’avais que 8 ou 9 ans, lorsque j’ai créé mon premier « business » de gamin, mais mes parents me soutenaient déjà dans cette démarche.

Le premier été, j’avais acheté quelques paquets de gâteaux avec ma mère, chez un fournisseur professionnel, pour les revendre à de potentiels clients dans le voisinage. Ce « commerce » n’a pas été très lucratif, puisqu’il n’a pas fonctionné. Les biscuits qui devaient me permettre d’engranger des profits, ont alors fini… dans mon ventre ! Au moins, ils n’étaient pas perdus !

L’été suivant, je me lançais dans la revente de jouets, dont mon frère, ma sœur et moi ne voulions plus. J’avais identifié qu’il me fallait gagner en visibilité pour attirer bien plus de clients. J’ai donc créé des petites affiches que j’ai collées dans le quartier, sur le parcours qui menait les prospects chez nous. Bingo ! Avec les deux transactions commerciales que j’ai réussies à conclure, je pulvérisais mes objectifs de chiffre d’affaires !

J’ai donc pu me régaler de biscuits avec mes amis, pendant tout l’été ! Et nous avons même pu nous payer des ballons de foot ⚽️ pour jouer dans les rues de Casablanca 🙂

Dès lors, la vente ne me quittera plus jamais…

Du commerce de biscuits à la promotion de matériel électronique…

Adolescent, j’étais arrivé en Belgique. Ce choix de tout quitter n’était pas le mien. Je n’y avais d’ailleurs pas été préparé puisque l’on m’avait mis devant le fait accompli. J’avais 15 ans quand nous sommes arrivés à Bruxelles. Tout était différent. Tout m’était étranger. Je devais m’adapter et prendre les choses comme elles se présentaient. Si elles ne me convenaient pas, c’était à moi de me débrouiller pour avoir mieux…

Bien sûr, j’avais toujours mon appétit pour les bonnes choses ! C’est aussi à cette époque que j’ai découvert les jeux vidéo. Je me suis donc naturellement mis à vendre – cette fois, dans le domaine de l’électronique – pour pouvoir satisfaire mes plaisirs…

L’un de mes nouveaux copains d’école reconstituait des ordinateurs et cela m’a donné l’idée de devenir revendeur sur Internet de matériel électronique. Je rachetais des consoles de jeux vidéo usagées, je les nettoyais et je les réparais. Ensuite, je pouvais bien sûr les monnayer plus cher : je réalisais ainsi une marge de 15-20% en les commercialisant sur des sites web de promotion de produits d’occasion.

Tout cela, je le menais en parallèle de l’école et ça fonctionnait super bien. Après quelques mois, j’ai pu m’offrir tout le matériel électronique neuf qu’un jeune de 17 ans rêve d’avoir, mais ne peut généralement pas se payer… J’ai acheté une Playstation III, une XBox et deux télévisions, parce que l’une des deux m’a permis de gâter mon ami ! J’étais aux anges.

Malgré ces bénéfices financiers, j’avais certes une méthode de vente, mais cela ne faisait pas de moi un professionnel. D’ailleurs, rien ne me prédestinait à devenir commercial. En fait, je me préparais plutôt à me lancer dans une carrière technique…

L’informatique me passionnait : « Un jour, je travaillerai en Recherche & Développement chez Microsoft ! »

Même si l’école ne m’a jamais vraiment intéressé, pour rien au monde, je n’aurais manqué un seul jour de classe ! J’adorais y aller pour écouter les vannes et les blagues qui ne manquaient pas de fuser et nous tordaient de rire, comme des baleines.

En fait, il me semblait que l’école stimulait une culture du « chacun pour soi ». Alors qu’elle ne manque pas d’imposer des examens, il n’est pas permis d’aider ses camarades pendant ces sessions. C’est ce qui me déplaisait. Je trouvais que le travail d’équipe et la solidarité – surtout dans les moments d’épreuves – sont les valeurs que cette institution aurait dû vouloir véhiculer.

Quoi qu’il en soit, après ma formation en comptabilité, ma fascination pour l’électronique était toujours là. Alors, j’ai pris un job alimentaire au Parlement européen et je me suis inscrit dans une Haute École en Informatique. Je rêvais de travailler en Recherche & Développement (R&D) pour Microsoft. À ce moment-là, je convoitais tellement le Windows Phone, et plus généralement toute cette marque, que mes amis se moquaient gentiment de moi en m’appelant MehdiCrosoft. Je croyais vraiment que Microsoft finirait par pulvériser Androïd… Mais le marché en a décidé autrement. Cela n’a pas manqué d’apporter de l’eau au moulin de mes potes qui me charriaient toujours pour cette conviction… Ils le font d’ailleurs encore aujourd’hui !

J’avais alors une vingtaine d’années et ma vie se partageait tranquillement entre mon job d’appoint, l’école et le milieu des startupers de Bruxelles. J’aimais bien aller à ces événements de networking à l’école Solvay pour sympathiser avec les gens. Je les voyais un peu comme mes futurs collègues de R&D. D’ailleurs, j’ai rapidement trouvé ma place dans cet environnement : je les aidais à négocier et à convaincre les investisseurs de débloquer leurs fonds ?. Bref, nous formions une petite communauté conviviale et affairée autour de nos projets quand soudain :

Tout bascule, ce fameux jour où je donne un coup de main à mon collègue…

Un soir, l’un de mes collègues du Parlement européen, originaire de Liège, me demande où se trouve la FNAC. Ni une, ni deux, nous voilà partis au travers de Bruxelles, après le travail. À notre stupéfaction, quand nous arrivons dans le magasin, nous découvrons un immense stand Microsoft en train d’être monté pour une activité promotionnelle. Je me retrouve alors nez-à-nez avec l’ordinateur de mes rêves.

Évidemment, mon collègue me charrie un peu, quand tout à coup, un homme surgit en m’interpellant : « J’ai deux enfants qui ont à peu près votre âge et je voudrais leur acheter des ordinateurs pour leurs études. Qu’est-ce que vous me conseilleriez ? ». Le modèle que je suis en train de regarder me semble vraiment approprié, après avoir bien clarifié les besoins de ce monsieur. Je lui explique alors en détail ce produit. Je lui précise aussi les accessoires, qu’il ne faut surtout pas qu’il oublie d’acheter, pour pouvoir utiliser cet ordinateur.

Savoir écouter les clients avec empathie est un principe fondamental pour conclure une vente avec succès. Je découvrais la puissance de cette technique en conseillant un monsieur à la FNAC de Bruxelles !

Il part faire ses achats et me remercie chaleureusement en repassant devant le stand : « Merci beaucoup, vous avez vraiment pris le temps de m’écouter et vous m’avez vraiment bien conseillé. Je n’aurais jamais pu être mieux servi par un vendeur du magasin ! ».

À ce moment précis, la constellation des étoiles s’aligne !!! Je sens une tape sur mon épaule : c’était le directeur commercial de Microsoft qui avait suivi toute la scène et qui me tendait sa carte de visite en me demandant de « l’appeler au plus vite ». L’incroyable venait de se produire !

J’avais un boulevard devant moi et j’ai foncé pour découvrir comment vendre plus et mieux

Aussi étonnant que cela puisse paraître, avant de décrocher mon contrat pour cette société de matériel informatique, je ne savais pas que je pouvais vendre des produits pour une entreprise. Cette opportunité a contribué à me donner confiance en mes aptitudes à générer des profits.

De nombreuses fois, j’ai été honoré de la distinction de meilleur vendeur de ma région – le Benelux et le Belux – ou j’étais classé dans le top 3 du département commercial. De plus, en entrant dans ce poste, j’ai :

    • suivi de nombreuses formations ;
    • passé des certifications aux techniques de vente et de négociation ;
    • Acquis une incroyable expérience de terrain au contact de 15 000 clients en l’espace d’environ 3-4 ans.

Tout cela a fait de moi un réel professionnel de la vente. C’est pourquoi après ces quelques années à promouvoir des produits de chez HP, LG et Microsoft, j’ai pu prendre des responsabilités d’encadrement. J’ai ainsi pu former plus d’une centaine de spécialistes en magasin à mieux négocier avec leur clientèle, à travers toute la France.

À la suite de cette expérience, ils m’ont proposé de me confier le management des ventes pour toute la Belgique, alors que je n’avais que 27 ans ! J’ai vécu cette demande comme une consécration de mes compétences commerciales. Mais l’histoire ne s’arrête pas là, j’avais en fait d’autres plans…

Je me battrai pour aider toutes celles et ceux qui ont besoin d’apprendre à aimer vendre, pour réussir…

Alors que la pandémie de Covid-19 commençait à se propager en Europe, les magasins devaient repenser leur organisation. La société entière semblait s’enfoncer dans l’inconnu. Je percevais qu’un changement radical arrivait, comparable à ce que j’avais connu en arrivant en Belgique. Je suis alors automatiquement entré en mode “reset” et je me suis demandé : « Que faudrait-il que je fasse si je devais repartir de zéro ? ».

La meilleure façon de rebondir que je connaissais était de partir sur mes fondamentaux. J’ai donc décidé de m’orienter vers le commerce en ligne et de me focaliser sur ma compétence la plus forte : le closing, qui est l’art de conclure une affaire.

Je me suis alors mis à travailler pour quelques entrepreneurs du web. Très rapidement, leurs profits ont augmenté grâce à mon aide. J’ai notamment réalisé plus de 260 000 EUR de chiffre d’affaires pour mon principal partenaire – en moins de 8 mois ! Là, j’étais définitivement convaincu d’avoir craqué le code de la vente !

C’est pour cela qu’aujourd’hui, j’ai décidé de voler de mes propres ailes pour aider bien plus d’indépendants, de chefs d’entreprises et de commerciaux à démultiplier leur chiffre d’affaires pour faire prospérer leur activité.

Si j’ai réussi dans les affaires, c’est parce que j’aimais ça. C’est cette sensation de plaisir que je vous transmet au travers de mon programme de coaching personnalisé. Mon objectif est que vous vous sentiez plus à l’aise, pour approcher votre clientèle. Quand les échanges sont plus libres, la confiance s’installe. Vous exploitez facilement la psychologie sociale que je vous enseigne et concluez ainsi votre transaction, avec tout autant de fluidité. 

Alors, prêt.e à vous lancer pour booster vos chiffres d’affaires – humainement et dans un respect absolu du client ?
Récupérez mon guide pour commencer tout de suite à vendre plus, plus vite et plus cher :

Le Processus De Vente en 10 étapes pour éradiquer les objections de vos prospects et tripler vos ventes !